samedi 13 avril 2013

la stigmatisation de GOFFMAN




la stigmatisation de GOFFMAN 



La stigmatisation se rapporte avec la déviance. Cette dernière peut amener  à l’exclusion et résulte d’un  refus des normes, des moyens amenant aux buts ou des buts de société .Pour Howard Becker , la déviance n’est pas un acte individuel par la société ,alors que l’école de Chicago voit que la déviance et un processus de socialisation au sien d’un sous groupe ...

Parmi les célèbres  chercheurs  de  l’école de Chicago , Erving Goffman . se dernier développe la notion de stigmatisation au sein de plusieurs travaux (les usages sociaux des handicaps , la mise en scène de la vie quotidienne et  les rites d’interaction ) et constitue aussi une introduction a l’analyse interactionniste. D’autre part , on trouve une autre approche d’un ethnologue appelé Robert Murphy qui confirme la justesse des observation de Goffman , notant  que Robert Murphy procède  une analyse de l’intérieur car il était victime d’une infirmité à cause d’une tumeur .
*La notion de stigmatisation :
Pour Goffman , le stigmate caractérise l’individu voire il le discrédite aux yeux des autre .
Il distingue aussi trois types de stigmates :
1_ les stigmates  corporels tel que les handicaps physique (Myopie , difformités , défauts de visages )
2_les stigmates relatifs à a personne ou à son passé (alcoolisme , trouble de caractère, se jour dans un hôpital …)
3_les stigmates tribaux correspondant à la race (le case des noirs en U.S.A) donc les stigmates peuvent être visibles , c'est-à-dire ils discréditent l’individu, ce qui provoque un problème de contrôle correcte de l’interaction .
Par ailleurs le stigmate peux être aussi invisible tel que le case d’avoir un passé délinquant ce qui fait de l’individu « des rééditable » et ou son problèmes devient le contrôle de l’information relative au stigmate.
Goffman s’intéresse au problèmes des relations mixtes, antre un stigmatisé et un « normal », sur tout que la rencontre d’une personne dont le stigmate et visible pose quelques problèmes de l’interaction .
Chaque société se recrée à travers des interactions et des processus de socialisation , mais au même temps elle recouvre plusieurs situations qui peuvent être invalidantes (le case de l’aveugle) et qui fait du stigmate un résultat d’un phénomène d’étiquetage d’où le stigmate peut apparaitre flagrant comme l’exemple de couleur de la peau au la situation des divorcés.
On définitif , notre intérêt se limitera aux handicaps physiques contrairement a Goffman qui tente traduire une analyse général des interaction humaines .Ce point de vue correspond à la perspective de Robert Murphy qui parle de «discrimination pure » quand il s’agit d’un stigmate corporel .
*les perspectives Mutuelles :
Ici nous nous intéressants aux perception mutuelles des stigmatisés et des normaux . ainsi que comment un stigmatisé perçoit un « normal » le stigmate visible influe l’attention de l’inter locuteur car il reflète certain image . ainsi Robert Murphy explique qu’un infirme dans son fauteuil n’apparait pas comme une « menace » aux yeux d’une femme, ce qui fait du stigmatisé un occupant d’une position inferieure .
Aux yeux du normaux un stigmatisé peut être traité soit un meilleur qu’il n’est ou un pire qu’il n’est voire une « non –personne ». Cette reconnaissance change celant que le « normal » connait personnellement le stigmatisé ce qui lui attribuera «une identité social » ou le « normal » ne connait pas le stigmatisé, il sera astreint de se référer à une connaissance cognitive pour accorder le stigmatisé une identité social et une identité personnelle .
Cependant un stigmate de valorisant peut atteindre la famille et les proches du stigmatisé ce qui complique la compréhension la mise on place des interaction.
Cette perception fera du stigmatisé un individu de trois types d’identité : une identité social marqué par le stigmate , une autre personnelle relative au contrôle des information à propos des stigmate et une troisième               
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Identité « L’identité pour soi « qui reflète les sensations et le regard du stigmatisé envers son stigmate.
Pour Robert Murphy le stigmate est le premier élément pour toute définition de L’individu, car ce stigmate le dépersonnalise et L’amène à une perte d’autonomie. De plus la situation d’un stigmatisé engendre un sentiment de culpabilité tel que d’un échec ressenti comme résultat d’un effort insuffisant que Robert Murphy le qualifié comme corolaire de l’invalidité. C’est ainsi que un « normal » une faute dévoilée puloliquement engendre la Ronte, la culpabilité pour le châtiment alors que pour un handicap c’est l’invalidité, la honte puis la culpabilité.
Le sentiment de culpabilité peut s’étendre aux membres de la famille dans un jeu de miroir qui fait du stigmate se un fardeau pour sa famille alors que dans d’autres cas la famille peut devenir invalide.
Robet Murphy confirme les approches de Goffman menant des recherches sur des femmes divorcées et des chômeurs   et qui a aboutit à l’existence d’une stigmatisation.
De cette perspective, il resette une auto dévalorisation car les handicapés contreviennent aux valeurs de la société américaine : Le cas  du « beau corps » ou «  la virilité », ce qui entraine une honte et une culpabilité à L’égard du soi , c'est-à-dire une nouvelle identité.
Selon Goffman l’appelle l’intinerairere morale) : Le stigmatisé devra passer par deux étapes ; la socialisation en apprenant les valeurs des normaux à propos du stigmate et la découverte de son  stigmate ainsi qui les conséquences qui en résultent.
Par conséquent on distingue quatre types de structures fondamentales : la première   où le stigmatisé apprend le point de vue des normaux en même temps que son désavantage ( le cas des orphelins ) , la deuxième où la famille protège l’enfant de son environnement et il n’apprendra le point de vue des normaux qu’après coup , la troisième où l’individu apprendra son stigmate tardivement après avoir intégré le point de vue des normaux ce qui impose le problème de reidentification et fait appel à l’intervention des médecins , et la quatrième structure où les individus socialisés dans une communauté étrangère doivent apprendre une deuxième manière d’être  avec leur stigmate.
*L’interaction Mixte :
Pour Goffman la situation devient problématique quand il a s’agit d’une rencontre / interaction entre un «  stigmatisé «  et un «  normal «.
Le « normal » voit le «  stigmatisé «  comme un «  autre «  et comme un «  non humain «. Tel que le cas d’un American qui voit un handicapé comme «  autre / un non humain » car il remet en cause l’image du beau corps, aussi la peur d’être soi même, un jour, handicapé.
L’attente du normal envers la stigmatisé paraît  problématique car on demande au stigmatisé de se voir un être  entièrement à part , stoïque  aussi ( c'est-à-dire devenir héros)et au  même temps d’accepter une aide de la part des normaux qu’il n’a pas demandé ( exemple de l’infirme interdit d’entre au restaurant car il provoquera la dépression chez    les normaux ) .
Robert Murphy résume cette situation et présente trois règles pour faire un bon malade : (1) ne pas se plaindre et être un malade héroïque (2)ne pas déroger   de la vie courante à cause de sa maladie (3) se faire soigner toute fois , le normal peut se trouver en minorité dans un groupe de stigmatisés comme le cas de Birdwhistell rapporté par Goffman : (Ray admis dans un groupe de Noirs :au début , ils prenaient soin d’utiliser le mot <noir> en sa présence . peu à peu ils commençant à utiliser le mot <négre> devant lui en plaisantant , puis ils ont tous utilisé ensemble le mot <négre> de cette anecdote la mise en place de l’interaction revient au stigmatisé , et l’interaction mixte entreprise par l’individu non stigmatisé doit soumettre à d’énormes précautions et le stigmatisé devient responsable du bon fonctionnement de l’interaction car son action change selon s’il est discrédité on discrédit able , qu’il connaît son inter locuteur ou non et si les autres les connaissent ou pas et selon l’importance du stigmates.
Le stigmatisé doit tenir compte du lieu qui se décompose en trois types : .1. Lieux qui lui sont interdit .2. Lieux où il sera expulsé. .3. Lieux qui sont réservés. . 4. Lieux ouverts ou il peut se laisser aller. Si le stigmate est visible (l’individu
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est discrédité) son problème sera de contrôler l’interaction, alors si le stigmate est non visible ou non connu le problème devient de contrôler l’information, car le stigmatisé ne peut pas cacher son stigmate et il doit distinguer à qui il peut délivrer l’information et à qui il ne peut pas ; c'est-à-dire il doit savoir son inter locuteur ne le connaît pas (ne connaît pas son stigmate) où  S’il le connait personnellement ( il connait son stigmates ).
On doit tenir compte aussi de l’effet du stigmate sur le système de l’interaction : dans le cas d’un stigmate apparu tardivement
L’effet se produira  sur les intimes et la famille .
Le stigmatisé à des stratégies possible :
1_il doit apprécier les efforts et les aides des normaux que se soient demandés ou non et qui sont éventuellement
dévalorisant es :l’infirme doit reconnaitre ses aides .
2_le stigmatisé peut agir sur le stigmate à travers des stratégie de «faux semblants » c'est-à-dire cacher le stigmate et entré
dans la vie rotinière .
il est possible aussi de cacher la stigmate en contrôlant ses effets .ainsi et possible de faire passer le stigmate pour un stigmate
moins grave .
L’autre peut être complice volontaire ou involontaire à aider pour dissimuler le stigmate se que Goffman nomme les «des
Identificateurs » :
Le des identificateurs et l’élément qui donne une information contredisant du stigmate visible ou invisible (le cas de
Barry :père de famille et Bourreau).
Le stigmatisé peut aussi se dévoiler  pour passé du contrôle de l’information ou contrôle du bon déroulement de l’interaction . 
Le dévoilement peut  se déployer à travers la provocation ou on fera expliciter le stigmate visible dans nos relation ce qui fait
Courir  le normal un risque , aussi si la provocation n’est pas acceptée par les normaux .
Le résultat et que l’interaction social elle même sera mise en danger se qui constitue la nature des interaction mixtes entre
stigmatisés  et normaux .
La Gaffe aussi peut mettre le stigmatisé en danger s’il s’agit d’un stigmate cacher au qu’on ne veux pas révéler sont existence,
Et dans le cas du stigmate visible si le « normal » qui risque de « perdre la face ».
Donc la stratégie possible est que le « discrédité » ou le « discréditable » doit garder distance et refuser l’interaction social ,
care  même si  l’interaction et réussi les risques ne sont pas écartés , tout en sachant qu’on demande on stigmatisé de tenir
une situation impossible sur tout qu’il doit ou même temps être comme es autres et resté à sa place la risque se manifeste
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dans le cas de stigmatisé qui croit être accepté qu’il n’est pas réellement et qu’il doit jouer le rôle attendu par les normaux en
  restant à sa place .
Par conséquent ,si le trouble de l’interaction et plus fort que le stigmatisé on constate :le stigmatisé préférera se trouver dans
Un groupe important et d’autre part son cercle de relation se rétrécira et se modifiera .il se rétrécira car le stigmatisé et
Evitera quelques contacts et l’accès aux autres deviendra difficile . Murphy présente son expérience lors des réunion des
Cocktails ou la station de bout ,et de rigueur , il n’à pas pu participer aux conversation et il n’à pas pu choisir ses relations
Sociales c'est-à-dire un handicapé de statue dévalorisé sera plus dévalorisé dans un groupe social par rapport à son groupe
d’origine (son expression avec les gardiens noirs ).l’interaction mixte nécessite des stratégies et pousser à une ré identification
des rôles.
*La stigmatisation et les affiliations :
Tout stigmatisé et obliger de régler ses relations que se soit avec des normaux aux des stigmatisés .c’est le gros relation se
compose des stigmatisé , le stigmatisé doit accepter une vie socialement diminuée par conséquent le stigmatisé tendra à
hierar chiser son monde selon le degré de visibilité et d’importunité du stigmate.
Le stigmatisé trouve une certain difficulté pour procédée à une définition de son identité personnelle car se relation sont avec
Une paire qui se compose du normaux (la famille, des professionnel ,des médecins ,..)et des stigmatisé .Si le stigmatisé aura
Une relation ambivalente : l’impossibilité de rejoindre le monde des normaux et l’impossibilité de refuser le monde des
Stigmatisé(militants).donc s’il cherche à montrer que sin stigmate ne doit pas l’exclure il particularisera sa situation alors que
Le fait de refusé les valeurs du monde qui veut l’exclure il ne le fera qu’avec le style , le langage et les valeurs du monde qu’il
Cherche à registre .
*stigmatisation et théories sociologiques :
Pour Murphy ,l’ handicapé et inclassable : il n’est pas « normal », mais aussi il n’est pas étranger , il est donc en état de
« suspension sociale ».
Pour expliqué cette situation , Murphy recoures aux travaux de van Gennep sur les rites du passages qui se décompose en
Trois Parties :1_une phase  de séparation avec le monde d’avant . 2_une phase de marge appelée « apesanteur social », ou
L’individu n’appartient à aucun groupe , 3_une phase de connaissance ou d’agrégation ou l’individu est intégré à sont nouveau
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Groupe d’appartenance . donc l’individu et le produit d’interaction sociales on présence de l’handicap.
Qui  modifie les interactions de l’individu et son identité personnelle.
Pour norbert elias , qui s’intéresse au rôle de l’autocontrôle ; le contrôle corporel pour l’handicapé est une transgression du processus el civilisation . Pour Robert Murphy qui reprend Simone de Beauvoir ; notre anatomie est une hypothèse non formulée dans toutes nos entreprises. Marcel Mause tient en compte l’importance des techniques du corps dans la compréhension des phénomènes  sociaux. Ainsi pour Maurice Leenhardt, la personne est déterminée par l’ensemble des relations sociales de l’individu.
Si le corps dans l’Abhidharma indien rapporté par Jean Stoetzel est l’esprit lui même et n’est plus une hypothèse informulée ;  il constitue un problème qui trouble les relations avec le mode et donc la constitution du <moi> du handicapé.
Pour Simmel l’analyse des relations du stigmatisé montre que toute relation sociale est le composé de séparation et de liaison <pont et la porte>, comme ca le stigmatisé trouve une difficulté de choisir entre le mode des <normaux> et le mode des pairs, ce qui fait que la vie sociale résulte d’un équilibre entre intériorisation et extériorisation.
Finalement Erving goffman distingue quatre types de déviants : (devieurs) :
1_ déviant affecté à une place inferieur alors qu’il reste élément de cohésion de son groupe : c’est un déviant intégré (le clown de la chambré, l’idiot du village).
2 _ pour Merton, il y a des déviants sociaux : ceux qui refusent les normes de la société.
3_  les minorités ethniques et raciales peuvent constituer une autre forme de devieurs.
4_ dans les sociétés démocratique tout individu est traité comme un égal quelque soit les types des relations mis en place.
Plus exactement, on constate que pour Goffman la situation de <normale> on du <stigmatisé> est le produit de <point de vue> résultant de l’interaction.
Ainsi que tout <normal> peut être un stigmatise en puissance se qui est appelé « les anormalement normaux » et que Simmel le classe comme étranger, individu proche d’être stigmatisé à cause de la multiplication des relations sociales.  












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