la stigmatisation de GOFFMAN
La stigmatisation se rapporte avec la déviance. Cette
dernière peut amener à l’exclusion et résulte
d’un refus des normes, des moyens
amenant aux buts ou des buts de société .Pour Howard Becker , la déviance n’est
pas un acte individuel par la société ,alors que l’école de Chicago voit que la
déviance et un processus de socialisation au sien d’un sous groupe ...
Parmi les célèbres
chercheurs de l’école de Chicago , Erving Goffman . se
dernier développe la notion de stigmatisation au sein de plusieurs travaux (les
usages sociaux des handicaps , la mise en scène de la vie quotidienne et les rites d’interaction ) et constitue aussi
une introduction a l’analyse interactionniste. D’autre part , on trouve une
autre approche d’un ethnologue appelé Robert Murphy qui confirme la justesse
des observation de Goffman , notant que
Robert Murphy procède une analyse de
l’intérieur car il était victime d’une infirmité à cause d’une tumeur .
*La notion de stigmatisation :
Pour Goffman , le stigmate caractérise l’individu voire il
le discrédite aux yeux des autre .
Il distingue aussi trois types de stigmates :
1_ les stigmates corporels tel que les handicaps physique
(Myopie , difformités , défauts de visages )
2_les stigmates relatifs à a personne ou à son passé
(alcoolisme , trouble de caractère, se jour dans un hôpital …)
3_les stigmates tribaux correspondant à la race (le case des
noirs en U.S.A) donc les stigmates peuvent être visibles , c'est-à-dire ils
discréditent l’individu, ce qui provoque un problème de contrôle correcte de
l’interaction .
Par ailleurs le stigmate peux être aussi invisible tel que
le case d’avoir un passé délinquant ce qui fait de l’individu « des rééditable
» et ou son problèmes devient le contrôle de l’information relative au stigmate.
Goffman s’intéresse au problèmes des relations mixtes,
antre un stigmatisé et un « normal », sur tout que la rencontre d’une personne
dont le stigmate et visible pose quelques problèmes de l’interaction .
Chaque société se recrée à travers des interactions et des
processus de socialisation , mais au même temps elle recouvre plusieurs
situations qui peuvent être invalidantes (le case de l’aveugle) et qui fait du
stigmate un résultat d’un phénomène d’étiquetage d’où le stigmate peut
apparaitre flagrant comme l’exemple de couleur de la peau au la situation des
divorcés.
On définitif , notre intérêt se limitera aux handicaps
physiques contrairement a Goffman qui tente traduire une analyse général des
interaction humaines .Ce point de vue correspond à la perspective de Robert
Murphy qui parle de «discrimination pure » quand il s’agit d’un stigmate
corporel .
*les perspectives Mutuelles :
Ici nous nous intéressants aux perception mutuelles des
stigmatisés et des normaux . ainsi que comment un stigmatisé perçoit un «
normal » le stigmate visible influe l’attention de l’inter locuteur car il
reflète certain image . ainsi Robert Murphy explique qu’un infirme dans son
fauteuil n’apparait pas comme une « menace » aux yeux d’une femme, ce qui fait
du stigmatisé un occupant d’une position inferieure .
Aux yeux du normaux un stigmatisé peut être traité soit un
meilleur qu’il n’est ou un pire qu’il n’est voire une « non –personne ». Cette
reconnaissance change celant que le « normal » connait personnellement le
stigmatisé ce qui lui attribuera «une identité social » ou le « normal » ne
connait pas le stigmatisé, il sera astreint de se référer à une connaissance
cognitive pour accorder le stigmatisé une identité social et une identité
personnelle .
Cependant un stigmate de valorisant peut atteindre la
famille et les proches du stigmatisé ce qui complique la compréhension la mise
on place des interaction.
Cette perception fera du stigmatisé un individu de trois
types d’identité : une identité social marqué par le stigmate , une autre
personnelle relative au contrôle des information à propos des stigmate et une
troisième
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Identité « L’identité pour soi « qui reflète les
sensations et le regard du stigmatisé envers son stigmate.
Pour Robert Murphy le stigmate est le premier élément pour
toute définition de L’individu, car ce stigmate le dépersonnalise et L’amène à
une perte d’autonomie. De plus la situation d’un stigmatisé engendre un
sentiment de culpabilité tel que d’un échec ressenti comme résultat d’un effort
insuffisant que Robert Murphy le qualifié comme corolaire de l’invalidité.
C’est ainsi que un « normal » une faute dévoilée puloliquement
engendre la Ronte, la culpabilité pour le châtiment alors que pour un handicap
c’est l’invalidité, la honte puis la culpabilité.
Le sentiment de culpabilité peut s’étendre aux membres de la
famille dans un jeu de miroir qui fait du stigmate se un fardeau pour sa
famille alors que dans d’autres cas la famille peut devenir invalide.
Robet Murphy confirme les approches de Goffman menant des
recherches sur des femmes divorcées et des chômeurs et qui a aboutit à l’existence d’une stigmatisation.
De cette perspective, il resette une auto dévalorisation car
les handicapés contreviennent aux valeurs de la société américaine : Le
cas du « beau corps » ou
« la virilité », ce qui entraine une honte et une culpabilité à
L’égard du soi , c'est-à-dire une nouvelle identité.
Selon Goffman l’appelle l’intinerairere morale) : Le
stigmatisé devra passer par deux étapes ; la socialisation en apprenant
les valeurs des normaux à propos du stigmate et la découverte de son stigmate ainsi qui les conséquences qui en
résultent.
Par conséquent on distingue quatre types de structures
fondamentales : la première où le
stigmatisé apprend le point de vue des normaux en même temps que son
désavantage ( le cas des orphelins ) , la deuxième où la famille protège
l’enfant de son environnement et il n’apprendra le point de vue des normaux
qu’après coup , la troisième où l’individu apprendra son stigmate
tardivement après avoir intégré le point de vue des normaux ce qui impose le
problème de reidentification et fait appel à l’intervention des médecins , et
la quatrième structure où les individus socialisés dans une communauté
étrangère doivent apprendre une deuxième manière d’être avec leur stigmate.
*L’interaction Mixte :
Pour Goffman la situation devient problématique quand il a
s’agit d’une rencontre / interaction entre un « stigmatisé « et un
« normal «.
Le « normal » voit le « stigmatisé «
comme un « autre « et comme un « non humain «. Tel que le cas
d’un American qui voit un handicapé comme « autre / un non humain »
car il remet en cause l’image du beau corps, aussi la peur d’être soi même, un jour,
handicapé.
L’attente du normal envers la stigmatisé paraît problématique car on demande au stigmatisé de
se voir un être entièrement à part ,
stoïque aussi ( c'est-à-dire devenir
héros)et au même temps d’accepter une
aide de la part des normaux qu’il n’a pas demandé ( exemple de l’infirme
interdit d’entre au restaurant car il provoquera la dépression chez les normaux ) .
Robert Murphy résume cette situation et présente trois
règles pour faire un bon malade : (1) ne pas se plaindre et être un malade
héroïque (2)ne pas déroger de la vie
courante à cause de sa maladie (3) se faire soigner toute fois , le normal
peut se trouver en minorité dans un groupe de stigmatisés comme le cas de
Birdwhistell rapporté par Goffman : (Ray admis dans un groupe de
Noirs :au début , ils prenaient soin d’utiliser le mot <noir>
en sa présence . peu à peu ils commençant à utiliser le mot <négre>
devant lui en plaisantant , puis ils ont tous utilisé ensemble le mot
<négre> de cette anecdote la mise en place de l’interaction revient au stigmatisé
, et l’interaction mixte entreprise par l’individu non stigmatisé doit
soumettre à d’énormes précautions et le stigmatisé devient responsable du bon
fonctionnement de l’interaction car son action change selon s’il est discrédité
on discrédit able , qu’il connaît son inter locuteur ou non et si les autres
les connaissent ou pas et selon l’importance du stigmates.
Le stigmatisé doit tenir compte du lieu qui se décompose en
trois types : .1. Lieux qui lui sont interdit .2. Lieux où il sera
expulsé. .3. Lieux qui sont réservés. . 4. Lieux ouverts ou il peut se laisser
aller. Si le stigmate est visible (l’individu
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est discrédité) son problème
sera de contrôler l’interaction, alors si le stigmate est non visible ou non
connu le problème devient de contrôler l’information, car le stigmatisé ne peut
pas cacher son stigmate et il doit distinguer à qui il peut délivrer
l’information et à qui il ne peut pas ; c'est-à-dire il doit savoir son
inter locuteur ne le connaît pas (ne connaît pas son stigmate) où S’il le connait personnellement ( il connait
son stigmates ).
On doit tenir compte aussi de
l’effet du stigmate sur le système de l’interaction : dans le cas d’un
stigmate apparu tardivement
L’effet se produira sur les intimes et la famille .
Le stigmatisé à des stratégies
possible :
1_il doit apprécier les efforts
et les aides des normaux que se soient demandés ou non et qui sont
éventuellement
dévalorisant es :l’infirme
doit reconnaitre ses aides .
2_le stigmatisé peut agir sur le
stigmate à travers des stratégie de «faux semblants » c'est-à-dire cacher
le stigmate et entré
dans la vie rotinière .
il est possible aussi de cacher
la stigmate en contrôlant ses effets .ainsi et possible de faire passer le
stigmate pour un stigmate
moins grave .
L’autre peut être complice
volontaire ou involontaire à aider pour dissimuler le stigmate se que Goffman
nomme les «des
Identificateurs » :
Le des identificateurs et
l’élément qui donne une information contredisant du stigmate visible ou
invisible (le cas de
Barry :père de famille et
Bourreau).
Le stigmatisé peut aussi se
dévoiler pour passé du contrôle de
l’information ou contrôle du bon déroulement de l’interaction .
Le dévoilement peut se déployer à travers la provocation ou on
fera expliciter le stigmate visible dans nos relation ce qui fait
Courir le normal un risque , aussi si la provocation
n’est pas acceptée par les normaux .
Le résultat et que l’interaction
social elle même sera mise en danger se qui constitue la nature des interaction
mixtes entre
stigmatisés et normaux .
La Gaffe aussi peut mettre le
stigmatisé en danger s’il s’agit d’un stigmate cacher au qu’on ne veux pas
révéler sont existence,
Et dans le cas du stigmate
visible si le « normal » qui risque de « perdre la face ».
Donc la stratégie possible est
que le « discrédité » ou le « discréditable » doit garder
distance et refuser l’interaction social ,
care même si
l’interaction et réussi les risques ne sont pas écartés , tout en
sachant qu’on demande on stigmatisé de tenir
une situation impossible sur
tout qu’il doit ou même temps être comme es autres et resté à sa place la
risque se manifeste
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dans le cas de stigmatisé qui
croit être accepté qu’il n’est pas réellement et qu’il doit jouer le rôle
attendu par les normaux en
restant à sa place .
Par conséquent ,si le trouble de
l’interaction et plus fort que le stigmatisé on constate :le stigmatisé
préférera se trouver dans
Un groupe important et d’autre
part son cercle de relation se rétrécira et se modifiera .il se rétrécira car
le stigmatisé et
Evitera quelques contacts et
l’accès aux autres deviendra difficile . Murphy présente son expérience lors
des réunion des
Cocktails ou la station de bout
,et de rigueur , il n’à pas pu participer aux conversation et il n’à pas pu
choisir ses relations
Sociales c'est-à-dire un
handicapé de statue dévalorisé sera plus dévalorisé dans un groupe social par
rapport à son groupe
d’origine (son expression avec
les gardiens noirs ).l’interaction mixte nécessite des stratégies et pousser à
une ré identification
des rôles.
*La stigmatisation et les
affiliations :
Tout stigmatisé et obliger de
régler ses relations que se soit avec des normaux aux des stigmatisés .c’est le
gros relation se
compose des stigmatisé , le
stigmatisé doit accepter une vie socialement diminuée par conséquent le
stigmatisé tendra à
hierar chiser son monde selon le
degré de visibilité et d’importunité du stigmate.
Le stigmatisé trouve une certain
difficulté pour procédée à une définition de son identité personnelle car se
relation sont avec
Une paire qui se compose du
normaux (la famille, des professionnel ,des médecins ,..)et des
stigmatisé .Si le stigmatisé aura
Une relation ambivalente :
l’impossibilité de rejoindre le monde des normaux et l’impossibilité de refuser
le monde des
Stigmatisé(militants).donc s’il
cherche à montrer que sin stigmate ne doit pas l’exclure il particularisera sa
situation alors que
Le fait de refusé les valeurs du
monde qui veut l’exclure il ne le fera qu’avec le style , le langage et
les valeurs du monde qu’il
Cherche à registre .
*stigmatisation et théories
sociologiques :
Pour Murphy ,l’ handicapé
et inclassable : il n’est pas « normal », mais aussi il n’est
pas étranger , il est donc en état de
« suspension
sociale ».
Pour expliqué cette situation ,
Murphy recoures aux travaux de van Gennep sur les rites du passages qui se
décompose en
Trois Parties :1_une
phase de séparation avec le monde
d’avant . 2_une phase de marge appelée « apesanteur social », ou
L’individu n’appartient à aucun
groupe , 3_une phase de connaissance ou d’agrégation ou l’individu est intégré
à sont nouveau
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Groupe d’appartenance . donc
l’individu et le produit d’interaction sociales on présence de l’handicap.
Qui modifie les
interactions de l’individu et son identité personnelle.
Pour norbert elias , qui s’intéresse au rôle de
l’autocontrôle ; le contrôle corporel pour l’handicapé est une
transgression du processus el civilisation . Pour Robert Murphy qui reprend
Simone de Beauvoir ; notre anatomie est une hypothèse non formulée dans
toutes nos entreprises. Marcel Mause tient en compte l’importance des
techniques du corps dans la compréhension des phénomènes sociaux. Ainsi pour Maurice Leenhardt, la
personne est déterminée par l’ensemble des relations sociales de l’individu.
Si le corps dans l’Abhidharma indien rapporté par Jean
Stoetzel est l’esprit lui même et n’est plus une hypothèse
informulée ; il constitue un
problème qui trouble les relations avec le mode et donc la constitution du
<moi> du handicapé.
Pour Simmel l’analyse des relations du stigmatisé montre que
toute relation sociale est le composé de séparation et de liaison <pont et
la porte>, comme ca le stigmatisé trouve une difficulté de choisir entre le
mode des <normaux> et le mode des pairs, ce qui fait que la vie sociale
résulte d’un équilibre entre intériorisation et extériorisation.
Finalement Erving goffman distingue quatre types de
déviants : (devieurs) :
1_ déviant affecté à une place inferieur alors qu’il reste
élément de cohésion de son groupe : c’est un déviant intégré (le clown de
la chambré, l’idiot du village).
2 _ pour Merton, il y a des déviants sociaux : ceux qui
refusent les normes de la société.
3_ les minorités
ethniques et raciales peuvent constituer une autre forme de devieurs.
4_ dans les sociétés démocratique tout individu est traité
comme un égal quelque soit les types des relations mis en place.
Plus exactement, on constate que pour Goffman la situation
de <normale> on du <stigmatisé> est le produit de <point de
vue> résultant de l’interaction.
Ainsi que tout <normal> peut être un stigmatise en
puissance se qui est appelé « les anormalement normaux » et que
Simmel le classe comme étranger, individu proche d’être stigmatisé à cause de
la multiplication des relations sociales.
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