les construction de la cellule:
définition:
La cellule (du latin cellula petite chambre) est l'unité de structure, fonctionnelle et reproductrice constituant toute partie d'un être vivant (dont les virus ne font pas partie). Chaque cellule est une entité vivante qui, dans le cas d'organismes multicellulaires, fonctionne de manière autonome, mais coordonnée avec les autres. Les cellules de même type sont réunies en tissus, eux-mêmes réunis en organes.
La théorie cellulaire implique l'unité de tout le vivant : tous les êtres vivants sont composés de cellules dont la structure fondamentale est commune ainsi que l'homéostasie du milieu intérieur, milieu de composition physico-chimique régulé et propice au développement des cellules de l'espèce considérée....
L’être humain est constitué de plusieurs milliards de cellules
toutes inter-reliées par un nombre astronomique de molécules toutes aussi variées les unes que les autres. Chaque individu se distingue par son dessein génétique, hérité de ses parents, mais également modelé par son expérience de vie. Entre autre, les facteurs extérieurs à notre corps présents dans l'environnement viendront moduler l’expression de nos gènes ainsi que les paramètres épi-génétiques de nos cellules.
toutes inter-reliées par un nombre astronomique de molécules toutes aussi variées les unes que les autres. Chaque individu se distingue par son dessein génétique, hérité de ses parents, mais également modelé par son expérience de vie. Entre autre, les facteurs extérieurs à notre corps présents dans l'environnement viendront moduler l’expression de nos gènes ainsi que les paramètres épi-génétiques de nos cellules.
Il en résulte que notre corps produit des réactions biochimiques internes nécessaires à son bon fonctionnement. Celles-ci sont influencées par les stimulis que nos cellules reçoivent au fil du temps. Ces réactions biochimiques sont l'expression même de nos grands systèmes physiologiques, immunologiques, morphologiques, anatomiques etc.
Ces derniers représentent en grande partie ce qu’on pourrait appeler le terrain de notre corps.
Au travers de notre vie, ce terrain change constamment.
L’ensemble des réactions biochimiques qui se produit quotidiennement dans notre corps s’appelle le métabolisme intermédiaire. Il s’agit d’une véritable usine chimique dans laquelle on convertit les aliments que l’on ingère en plus petites unités assimilables par nos cellules pour en faire des matériaux de construction pour de nouvelles molécules qui remplaceront les anciennes ou celles qui sont usées.
Se faisant, nous créons des déchêts que nous devons éliminer de notre corps pour éviter de s’empoisonner. Nous dormons pour donner la chance à nos systèmes physiologiques de se réparer et de se reposer.
Nous nous protégeons des agressions de l’environnement telles que les rayons UV, rayons cosmiques, la pollution chimique, biologique, les toxines… par des mécanismes de protections intracellulaires et physiologiques (ex. le foie, les reins, système digestif…).
Il existe aussi des mécanismes de protection et de réparation à l’échelle moléculaire pour la protection de notre patrimoine génétique.
Le système immunitaire vient appuyer nos cellules, tissus et organes dans la protection et la réparation tissulaire. Mais son rôle est avant tout de protéger l’organisme tout entier contre les invasions microbiennes et les défaillances de nos propres cellules qui se transformeraient en cellules cancéreuses le cas échéant.
En bref, il existe plusieurs mécanismes de surveillance, de protection, et de réparation qui sont à l’œuvre constamment dans notre corps pour aider nos systèmes physiologiques (le terrain de notre corps) à garder un équilibre sain que l’on nomme l’homéostasie.
Ces systèmes fonctionnent en permanence par des processus opposés (ex. hormone qui fait entrer le sucre dans les cellules, l’insuline, suivi du glucagon qui l’en empêche), par reconnaissance rétroactive (signal qui indique aux cellules pancréatiques de cesser la production d’insuline) et par redondance (d’autres mécanismes peuvent prendre la relève du système principal pour compenser une défaillance).
C’est lorsqu’il y a un déséquilibre ou une défaillance dans les mécanismes de « conservation » que nous devenons plus susceptibles au développement de pathologies. Ces défaillances, quoique dictées en grande partie par notre profil génétique et par l’environnement (style de vie, alimentation, exercice, stress, pollution etc.) dans lequel nous vivons, nous arrive plus fréquemment avec le vieillissement.
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